– Mode de preuve recevable : notamment la production d’un rapport établi par un inspecteur ou un contrôleur du travail.
– Définition de la discrimination : rappel de la notion d’agissement discriminatoire selon le Code du travail.
– Précisions sur le rôle du salarié et de l’employeur dans l’établissement des faits laissant présumer l’existence d’une discrimination.
– Appréciation par le juge des éléments apportés par les parties.
– Pouvoirs du juge des référés lorsqu’il est saisi dans le cadre d’un licenciement présumé discriminatoire.
– Obligation du juge de vérifier l’existence d’une discrimination avant d’examiner les justifications de l’employeur.
– Encadrement du périmètre de la production de pièces pour respecter la vie privée et les données personnelles.
– Nécessité de mettre en balance la preuve recherchée et les droits fondamentaux en cause.
– Compte rendu du colloque du 4 octobre 2024 sur le thème : « Questions sensibles de droit du travail : la preuve de la discrimination ».
– Analyse croisée de la jurisprudence et des pratiques professionnelles.
- Signalement d’un salarié pour discrimination et harcèlement sexuel au travail